Le 
préfet avait deux mois pour faire appel c’est à dire jusqu’au 1 août , il ne l’a 
pas fait.
De plus pour répondre à monsieur LACAZE rédacteur en  chef d'une certaine revue "Pêche Adour Garonne Pyrénées" où il écrit que ce 
jugement n'a pas été rendu sur le fond en nous traitant " d'écolos anti-pêche".
La 
justice avait en main l'étude du Professeur LIM de l'ENSAT et c'est bien en grande partie sur le fond concernant la 
maille de la truite Fario qu'elle a rendu son 
verdict. 
Et si la Fédération de pêche de Haute Garonne décide de continuer dans cette voie, nous serons dans l'obligation de reprendre nos actions car si l'arrêté 2012 n'a pas été attaqué par manque de moyens financiers , ce ne sera pas le cas en 2013.
   D'autre part , nous avions contacté notre correspondant à la dépêche afin qu'il publie un article concernant les épandages aériens en Haute Garonne, apparemment injoignable depuis fin juillet 
voici 
donc ce communiqué:
  | 
| Champ de Maïs en bordure de rivière | 
 
Nous 
opposons fortement aux épandages aériens d'insecticides 
ou de pesticides 
, beaucoup de cultures de Maïs  étant à proximité des cours d’eaux (photo ci dessus), les 
invertébrés sont en danger dans nos rivières ,certaines espèces ont déjà 
disparu , les adultes meurent pendant ces épandages ou en allant se poser sur 
ces cultures , avant même de pouvoir se reproduire.
 
 En effet il est question d'insecticides pour tuer la chenille du Maïs ( celui qui est destiné à la semence après récolte).  Ces épandages sont réalisés le plus souvent avec des liquides qui  éliminent tous les insectes  qui volent dans les champs , sans aucune sélection.
De plus certains produits sont classés comme cancérigènes possibles  où probables par l'agence de protection de l'environnement des USA (US EPA).
Un épandage plus intelligent existe néanmoins pour tuer cette chenille( qui mange la tige du Mais) faisant appel à une dispersion d'un micro granulé qui lui est mangé uniquement par cette chenille.!!!
Lequel nous l'espérons à été utilisé en Haute Garonne. 
 
La 
protection des cours d'eaux implique aussi la protection de leurs 
habitants qui n'a malheureusement pas été comprise par tous. 
Ces épandages vont à l'encontre de la protection de la biodiversité et de l'environnement, d'ailleurs certains départements comme l'Ariège ou le Lot  l'ont compris en annulant ces épandages .